30 Janvier 2013
Matinée à l'atelier. J'y arrive pas, finir Fortuny est si difficile. Alors, partir marcher, seul avec mes chiens. Penser à la peinture, à la séparation. Journée plombée, ciel bas. Quand Fortuny sera fini, ce sera une véritable séparation, une sorte de deuil. Pas d'appétit, même pas un yaourt nature...comme hier. Heureusement, ce soir, raviolis au citron et parmesan. Italie, Fortuny, quand tu me tiens...Ne pas céder à la tristesse. Au contraire, penser à ces 25 moments intenses, sans doute les plus forts de ma vie de peintre. Se dire qu'en fait tout cela est une histoire formidable qui va m'amener encore plus loin. On appelle ça finalement une forme de bonheur?