23 Janvier 2013

Un après-midi en pente douce. Un peu de spleen, de la solitude, pas de peinture et une envie presque irrépressible de me blottir comme un chat dans un duvet épais. Oh que cela serait bien. Penser encore à toutes ces promenades en forêt, intimement liées à ma peinture, à tous ces chemins où souvent je me parle à haute voix de mes projets, de mes réussites et de mes échecs. Vivre, peindre, aimer, comme le chantait Trust: "Marche ou crève, la vie que je vis n'est pas un rêve. Marche ou crève, c'est un combat il n'y a pas de trêve".