8 heures trente le matin.

Nous partons pour le centre de Kyoto. Les femmes se maquillent accroupies sur le quai. Il fait encore frais. Le calme règne, comme d'ailleurs systématiquement dans les trains et les métros. Jamais un téléphone portable ne sonne et personne ne parle. Comme si ces moments de déplacements étaient un peu de sommeil que l'on pouvait voler. C'est assez beau.