Le maître...

Dans mon yucata je continue de dessiner le Fuji que je ne vois pas mais que je sens. Cette tenue n'est pas franchement une tenue d'atelier, mais quand on est au Japon, c'est comme une évidence. Comme l'évidence que nous ne verrons pas le Fuji de la journée. Cette absence est forte. C'est peut-être en ne voyant rien que je peut le mieux en parler avec mes crayons, et éviter les pièges du dessin sur le motif. Alors vient sur la feuille ce qui est vécu et non ce qui est vu. Cela me semble plus fort.