Promis, je ne le ferai plus jamais...

Aie, bonjour Jackson - pas les five. Eh oui, j'ai osé, mais sans le vouloir. Peut-être que secrètement je pensais à lui. Finalement dès que l'on peind à même le sol, penché en avant, on se prend à rêver qu'une Lee Krasner de passage appuie sur le déclencheur...
Alors voilà, une image d'un samedi après-midi comme beaucoup d'autres, où après une virée avec mon épouse je rejoins mes préoccupations d'atelier - le sol, le mur, le paysage, le corps même de la peinture avant même de parler de sa peau, la mort, le sexe, la violence, le foot, les appels de Nicolas Raboud, Kylie Minogue, l'érotisme japonais, la reprise des grands prix de F1, le souper de ce soir avec des amis...Personne n'est parfait. Mais au moins je travaille.