10 Septembre 2008

Il est énôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôôrme

Mais cette problématique de la disparition a chez Saudan une extension encore plus grande. Les choses que peint Saudan sont toujours des choses presque privées d'être. Si elles existent encore, c'est avec toute la précaution et la prudence des guillemets qu'il faut le dire. Elles existent encore, mais pour qui au juste? Et comme quoi?

Frédéric Nicod, extrait de son texte pour mon livre, édité chez Benteli à Berne.