Sauvé, on y est
4 heures et demi de route pour 150 km dans une tempête halucinante. La nuit, la glace, une visibilité réduite à viser le petit piquet de plastique jaune sur le bord de la route et surtout quasi personne sur les routes. C'es le lendemain que l'on nous a demandé si on était venu dans la tempête. Et que l'on nous a à nouveau qualifié de fou, nous expliquant que dans ces cas là, on fait tout pour rester chez soi. Sur la photo, on voit notre maison, trouvée péniblement au bout d'un chemin de traverse. Le flou général est dû au fait que l'on ne pouvait rester debout à cause de la tempête. Et je vous jure que c'est vrai. Je vois bien que vous pensez que j'exagère, comme d'habitude. C'est moche de votre part.