Dirolahey
Le sable noir, le souffle de l'océan, le coeur qui bat vite, si vite, tellement c'est beau. La sensation si forte d'être en vie, de puiser à la source pour faire des sons ou des images, d'être si proche de l'essentiel que l'on se demande même s'il est nécessaire de produire quelque chose. Et puis au retour, au chaud dans sa maison, l'envie énorme de parler, de rendre sur la feuille, dans son instrument, la pulsation, la fureur, l'amplitude, la certitude d'avoir touché le coeur de la bête.