Crayon et feutre sur papier, 32,5 x 50 cm, Islande 2008
Chercher de nouvelles postures pour parler du paysage. Après New York et ses plans de ville, je trouve dans ma petite maison, des dessins faits par le propriétaire pour savoir les noms de ce que l'on voit par les fenêtres. Le déclic est là. Et comme ma femme m'a donné des feutres pour travailler - un cadeau difficile à utiliser - banzaï, je redessine, je vole ces paysages imaginaires du fin fond de l'Islande, avec un feutre argenté. Si simple à l'arrivée, et si compliqué pour y arriver.