15 Mars 2010

Jean-Luc et son chien

Mon ami qui vit dans la forêt, dans sa cabane très précaire. Je ne veux même pas savoir pourquoi j'y vais. Mais il n'y a pas un dimanche si je suis là, où je ne vais pas le voir. Il est tout ce que je ne serai jamais. En ce sens il m'attire profondément. Chaque fois que je cuisine je pense à lui et j'en fais un peu plus pour lui. Il m'attend toujours avec le sourire et une ou deux plaisanteries bien épaisses. Je ne reste jamais longtemps, mais bon sang que ce petit moment me fait me sentir bien. Il parle le chien, je parle le peint, nous sommes fait pour nous entendre...