Et voilà...

La vie douce du moulin va bientôt s'arrêter. Retour en Suisse programmé pour la semaine prochaine. De la tristesse mais aussi de la niaque pour la suite des opérations. En attendant, j'ai encore deux ou trois jours pour aller voir François Aubrun, un peintre qui travaille depuis trente ans dans la région. UN PEINTRE. Il a accepté que je vienne le voir et le filme. Une légère angoisse me tenaille.