Sur le port de Roscof
Douze heures de voyages, deux TGV plus loin, puis un bus, et me voilà à Roscof. La lumière est éclatante. Les goélans crient comme dans tous les ports du monde - je me rappelle avec émotion Essaouira avec NR - et moi je suis silencieux. Il est vrai que je ne vole pas si ce n'est dans ma tête.