07 Février 2013

Souper hier soir avec Antonio, Lou et ma fille Camille, pour finaliser notre départ pour Orkney, dans une petite semaine. Belle soirée. Sur le retour, ma fille Camille décide de me faire écouter du Patrick Bruel - J'te le dit quand même - dans la voiture, à coin, et me la joue karaoké dans la nuit lausannoise. Nous rions comme des fous, et je pense à Fortuny qui m'a quitté, que j'ai quitté. Alors, Fortuny, my love, pour toi, Patrick Bruel !!! Eh oui, on a tous nos faiblesses.

On aurait pu se dire tout ça
Ailleurs qu'au café d'en bas,
Que t'allais p't êt' partir
Et p't êt' même pas rev'nir,
Mais en tout cas, c' qui est sûr,
C'est qu'on pouvait en rire.

Alors on va s' quitter comme ça,
Comme des cons d'vant l' café d'en bas.
Comme dans une série B,
On est tous les deux mauvais.
On s'est moqué tellement d' fois
Des gens qui faisaient ça.

Mais j' trouve pas d' refrain à notre histoire.
Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires.
J' sais bien qu' j' l'ai trop dit,
Mais j' te l' dis quand même... je t'aime.

J' voulais quand même te dire merci
Pour tout le mal qu'on s'est pas dit.
Certains rigolent déjà.
J' m'en fous, j' les aimais pas.
On avait l'air trop bien.
Y en a qui n' supportent pas.

Mais j' trouve pas d' refrain à notre histoire.
Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires.
J' sais bien qu' j' l' ai trop dit,
Mais j' te l' dis quand même... je t'aime