10 Septembre 2008

Pierotti, laque et diamantine sur papier, 225 x 145 cm, 2007

Ma toute dernière peinture et l'arrivée de la diamantine. Il y avait déjà eu une tentative avec cette dernière sur mes paysages de Paris en 2002 - 2003. Mais cette fois-ci c'est plus frontal. Je trouve finalement assez logique d'en arriver à peindre des surfaces en diamantine. Son rôle est identique à l'argenté, le doré et le noir, souvent présents aussi dans ma peinture. Le contraste entre la surface, vieille et souvent blessée, de ce tableau et le clinquant Parishiltonien de la diamantine est une bonne métaphore de la vie et de mon rapport au monde qui m'entoure.