27 Octobre 2016

Sigmar Polke au Palazzo Grassi. Une des plus, voir la plus grande claque de ma vie. Je suis obligé de dire que devant cette série de toiles violettes, mes yeux étaient baignés de larmes. Quand la peinture fait pleurer on se rend compte que l'on est au mieux un peintre de salon, et ça fait mal, très mal, mais c'est si bon d'avoir mal avec Polke