30 Novembre 2015

Retourner seul, mais est-on vraiment seul quand il s'agit de comprendre la peinture, la mort, les voyages, les femmes et tant d'autres choses, donc retourner seul voir mon exposition "Quand les tambours s'arrêteront", me dire que tout cela était inutile donc essentiel, que j'aurais volontiers partagé un verre de vodka pour noyer mon chagrin et que je suis rentré à la maison préparer une soupe de courge. On appelle cela le destin des grands peintres. Vodka everybody!